750 grammes
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Elzevier et Tourne-Broches

27 mai 2009

Stanza, emporter sa bibliothèque avec soi...

Moi qui déteste lire sur écran, qui feuillette les livres avec amour et gourmandise, je suis pourtant totalement accro à cette application pour Iphone. Stanza permet de télécharger sur son téléphone des livres tombés dans le domaine public. (Ou bien d'acheter des livres payants mais j'avoue que cette option ne m'intéresse pas)
C'est vraiment bien fait. Tout est personnalisable, la police, la taille du texte, sa couleur, la couleur du fond... Le catalogue est encore beaucoup plus fourni en anglais qu'en français, mais on trouve quand même des centaines de bouquins gratuits dans la langue de Molière.
stanzaStanza c'est mon sauveur pour les trajets en RER ou en train. Et la lecture à l'écran est beaucoup plus agréable que sur un ordinateur.

Evidemment quand je suis chez moi, je préfère tout de même farfouiller dans ma bibliotèque non-virtuelle !


PS: Il y a également un moyen d'installer Stanza sur son mac ou son PC, de télécharger les oeuvres sur son ordi et ensuite de synchroniser la bécane avec son Iphone. Je n'ai pas encore essayé, mais d'autres l'ont fait...


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26 mai 2009

Taguéee !!!

Mab m’a taguée !!!

Il faut que je formule 8 vœux :

Je souhaite
1. Réussir mon « défi » de l’été
2. Gagner à l’Euromillions (encore faudrait-il que je joue)
3. Avec l’argent acheter un appart dans l’île Saint Louis
4. Et un piano Pleyel
5. Avoir plus de temps pour lire
6. Avoir plein de lecteurs sur ce blog
7. Pouvoir  manger des frites et du chocolat à volonté sans prendre un gramme
8. Avoir un pouvoir magique, celui d’Alanna dans les 4400. Pour ceux qui ne connaissent pas la série, elle peut créer des mondes virtuels par la pensée et y emmener une personne avec elle. Ils peuvent rester des mois dans cet univers sans qu’une seule seconde  ne s’écoule dans la vraie vie. Je pourrais ainsi partir en vacances à volonté !

Ensuite je dois associer ces dix mots : pour corser l’exercice, j’ai choisi de les associer avec des livres…
Message : L’Etranger de Camus
Blog : les Lettres de Mme de Sévigné
Prix : La Parure de Maupassant
Croix : Melmoth l’homme errant de Maturin
Scrap : les Cantilènes en gelée de Boris Vian
Création : Derniers Poèmes d’Amour de Paul Eluard
Bonheur : Heureux qui comme Ulysse… de Joachim du Bellay
Vie : Guerre et Paix de Léon Tolstoï
Enfant : Persepolis de Marjane Satrapi
Passion : Le Lion de Kessel

Mab a créé un blog très féminin et très classe. Elle y parle cuisine, mais aussi déco, jardin...

Et vu les photos qu'elle poste, elle a la chance d'avoir un très joli bout de verdure en plein paris. Je suis jalouse !

Je dois désigner 8 personnes pour poursuivre le jeu. Je ne connais pas grand monde sur la toile encore, alors j'espère que:

- Mimi Fantomas

- Mon monde 2


- Eleanora

- Babeth

- Hélène

- Anette

- Sundaylunchbourg

- Sobricolettes

accepteront de jouer le jeu

24 mai 2009

Salade kafkaïenne

Dans ma salade kafkaïenne, dont je vous parlais dans ce billet j'ai mis:

de la betterave rouge, des pommes de terres cuites à l'eau, du thon, du maïs, des oignons , des poivrons rouge, de la feta, le tout parsemé de graines germées: un mélange alfala/radis...

saladecompos_e_2_

24 mai 2009

De retour avec Kafka

 

Bonjour à toutes et à tous

 


Tout comme l'été, j'ai décidé de pointer à nouveau aujourd'hui le bout de mon nez. D'après les stats de visites sur mon blog, vous ne m'avez pas complètement oubliée, c'est très encourageant, merci beaucoup !

J'ai été pas mal occupée ces derniers temps: règlages d'emplois du temps laborieux, soucis de CDD et dans la série ça n'arrive qu'à moi, une partie du plafond de mon appart s'est effondrée!... Les charmants propriétaires du logement du dessus avaient une grosse fuite d'eau... et pas d'assurance-habitation...

Du coup c'est la guerre entre mon assurance, celle de mon propriétaire et celle du syndic de mon immeuble pour savoir qui doit payer quoi. En attendant, je dors et vit avec un trou au dessus de la tête, ou plutôt je campe dans le salon...

J'ai l'impression de me battre contre des moulins, et je vous aurais bien parlé de Don Quichotte, mais je n'ai pas lu cette oeuvre et son épaisseur et son poids me décourage un peu pour le moment...
En lieu et place, j'ai eu une illumination ! Quel est l'auteur qui cristallise le mieux l'ambiance dans laquelle j'évolue en ce moment?
Kafka bien sûr...
verwandlungEt par exemple la Métamorphose...
Le scénario est simple. Un matin, un vendeur Gregor Samsa se réveille. Il se rend compte qu'il s'est transformé en insecte géant. Dans mon souvenir, c'était même en une blatte géante, mais la fiche Wikipedia sur la Métamorphose, ne le précise pas...
Bien sûr quand les membres de la famille s'aperçoivent de la transformation, ils sont épouvantés. Ils l'enferment pour que personne ne sache ce qui leur est arrivé. Sa soeur continue néanmoins à le nourrir et à faire le ménage de sa chambre, mais Gregor se cache quand elle entre pour ne pas l'effrayer.
Pendant toute la nouvelle on assiste au désarroi de Gregor, qui continue à penser comme un humain, aux réactions de sa famille, dégoûtée par l'insecte, inquiète pour le fils et le frère, anxieuse, car on ne peut plus compter sur l'argent qu'il gagnait pour faire vivre le foyer...
Je dois avouer que ce texte n'est pas un de mes préférés. Je n'accroche pas trop à l'absurde de la situation. Kafka réussit trop bien à éveiller chez moi du dégoût à cause de ce gros insecte et à me faire ressentir le stress, voire l'angoisse de la situation...

Quelle recette pour accompagner votre lecture?

Une salade composée, d'abord parce qu'il fait très chaud aujourd'hui et que je ne vais pas vous proposer un goulash ou une autre spécialité russe... Et puis parce que la salade composée, c'est un mélange d'ingrédients éparses, un vidage des fond de tiroirs, l'association de saveurs improbables pour arriver à un tout complètement nouveau. C'est une salade kafkaïenne que je vous propose en somme...

 

salade_compos_e

 

Et comme j'ai oublié à Lyon la recharge de mon appareil photo numérique, je vous montre seulement des photos d'art tirées de mon Iphone... :'(

 

saladecompos_e_2_

29 mars 2009

Les Beignets de Carnaval - bugnes

Il y a quelques jours j’ai associé les bugnes lyonnaises au livre les Ensorceleurs de la collection Page Blanche. J’avais envie d’en dire plus sur ces beignets de Carnaval.
Je vous parlais de l’interjection « Bugne  !» quand on heurte quelquechose où que l’on se cogne, du verbe « bugner » (j’ai bugné en voiture…). Et bien après quelques petites recherche, il semblerait que le mot bugne vienne du franco-provençal, « beigne », qui signifie bosse. Cette étymologie explique les deux sens du mot bugne : c’est à la fois un coup, une ecchymose, une bosse, et un beignet avec une bosse sur le dessus.

DSC_0190

Dans la région lyonnaise et le Dauphiné, les charcutiers préparaient ces friandises pour Mardi Gras, car ils savaient que les clients allaient déserter leurs échoppes pendant tout le Carême. Apparemment les bugnes ont longtemps été fabriquées à base d’eau, de farine et de levure de bière, pour pouvoir être consommées pendant le Carème. Au XIXe siècle, on a ajouté du beurre et des œufs dans la recette.
Un peu partout en France, il existe des versions de ces beignets de carnaval. On les appelle : oreillettes, merveilles, bottereaux, craquelins, bougnettes, roussettes, tourtissaux, nouet ou nouettes…

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27 mars 2009

Collection Page Blanche, Gallimard - Yan Nascimbene

Hier, dans ce billet (clic!), je vous présentais un livre de la collection Page Blanche. Je voulais revenir rapidement sur cette collection puisque que j'y ai lu de nombreux titres que j'ai vraiment beaucoup aimé.
Gallimard l'a créée en 1987 pour viser un public d'adolescents, à partir de 13 ans. Mais évidemment comme beaucoup de romans pour "jeunes", la plupart -certains plus que d'autres - se laissent volontiers lire par des adultes également.
L'une des particularités de la collection: le dessin des couvertures à été confié chaque fois au même auteur Yan Nascimbene. Et cela pendant au moins 10 ou 15 ans. Je n'ai pas réussi à savoir si Yan Nascimbene dessinait toujours les couv pour Page Blanche...
En tout cas cela donne une vraie harmonie à la collection. Les romans de Page Blanche, bien qu'écrits par des auteurs différents, se déroulant dans des pays différents et à toutes sortes d'époques, ont tous un "ton" bien particulier, une sorte d'arrière goût, d'ambiance... A mon avis c'est évidemment dû au fait qu'un seul illustrateur dessine leurs couvertures. Pour chaque histoire, il envoie notre imagination dans la même direction.

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27 mars 2009

Les Ensorceleurs - Bugnes du Carnaval

esDans certaines régions de France, « Bugne ! » c’est une onomatopée qui signifie « boum ! ». On s’exclame : « Bugne ! » quand quelqu’un se cogne par exemple.
Pour tous les gourmets, les bugnes, ce sont ces savoureux beignets tout croustillants, que l’on prépare à Lyon pour mardi gras. (Ou n’importe quand, y a pas de raison !)DSC_0192

A propos de bugnes de carnaval, je vais vous parler d’un roman, les Ensorceleurs, destiné à la jeunesse. Il fait partie de la collection Page Blanche de Gallimard. L’auteur Margaret Mahy est Néo-zélandaise et a écrit de nombreux romans pour jeunes adultes…

L’histoire se passe en Nouvelle-Zélande. Une famille passe les fêtes de Noël et du Nouvel An  à la Cache-de-Carnaval (d’où les bugnes !). L’histoire est vue par les yeux de Harry (Ariadne) troisième enfant d’une famille de cinq. Elle sort de l’adolescence, porte des lunettes, écrit un roman en cachette – avec des passages plutôt érotiques. Elle rêve d’un livre qui ouvrirait des passages sur d’autres mondes à chaque page tournée, et dont la dernière montrerait le reflet d’un visage. Alors le lecteur se rendrait compte qu’il fait lui même partie d’un livre qui vient d’être lu. Harry est également fascinée et jalouse de sa sœur aînée, Christobel, qui attire tous les regards par sa beauté et son audace.
Sortant de l’enfance, elle redécouvre les personnages qui l’entoure : Jack et Naomi, des parents plutôt cool qui se font appeler par leur prénom, Charlie un grand frère marin, Robert son meilleur ami et le petit ami de Christobel, Benny et Serena, les deux cadets, Anthony, un anglais mystérieux venu étudier les forêts du bout du monde, Emma, une mère célibataire, amie de toujours des enfants et sa fille Tiby.

ensorceleurs_page_blanche_gallimardAu milieu de cette réunion de famille moderne s’invitent trois jeunes hommes
Ovide et ses deux frères jumeaux Hadfield et Félix ,  qui semblent surgis de la mer. Ils se disent les descendants du premier propriétaire de la maison Edward Carnaval. Son fils Teddy est mort noyé dans des circonstances mystérieuses et on n’a jamais retrouvé son corps.
Les trois frères aux prénoms invraisemblables ont un comportement assez énigmatique. Surtout pour Harry qui s’aperçoit immédiatement qu’ils ont exactement le visage qu’elle a donné aux héros de son roman : « Elle sentait son impuissance,car même si elle montrait son histoire, insistant sur les descriptions de Belen, faisant remarquer combien il ressemblait à Hadfield et Félix, tout le monde croirait qu’elle s’inspirait de la réalité. Il était impossible qu’on crût que la réalité s’inspirait de son imagination. »

C’est un roman vraiment étonnant. Avec un dose de fantastique qui est distillée de façon si délicate, qu’on s’en rend à peine compte. Et puis c’est une histoire de famille, avec ses secrets, ses jalousies… très justement dépeinte. Enfin c’est une vraie cure de dépaysement, un conte de Noël sur la plage en plein été !
C'est une collection jeunesse, mais pas enfant. Je pense qu'il ne faut pas être trop jeune pour lire ce roman. La collection Page Blanche est destinée aux plus de 13 ans. Je dirais bien 14 ou 15 ans pour ce roman...

24 mars 2009

Twilight - Fondant chocolat marrons

J'avais envie de parler de vampires...
41DcKN0STkLRécemment la saga Twilight, écrite par Stephenie Meyer a fait un tabac. Après avoir vu le film (je ne l'ai pas trouvé aussi nul que certains, mais je suis plutôt très bon public pour ce genre de sujets), j'ai lu les quatre tomes en anglais. Sur son blog, Rose fait une critique très amusante du second tome, en partant dans sa série sur les auteurs "capricorne".

Pour ceux qui ont pu échapper à la pub monstrueuse faite autour de ce best-seller et du premier film qui en a été tiré, voilà le topo:

Isabella (Bella) Swan, quitte Phoenix, la cinquième ville des Etats-Unis, l'Arizona et ses déserts, la chaleur... pour aller vivre chez son père à Forks dans l'état de Washington au Nord Ouest des USA. Le coin des States qui a le plus fort taux de pluviométrie ! Dans son nouveau lycée, elle tombe amoureuse quasiment dès le premier regard, d'un garçon de sa classe particulièrement beau et à la peau très pale (comme tous les membres de sa famille).

 

Edward, le garçon en question a un comportement tellement bizarre que Bella comprend vite qu'il est en fait un vampire. Lui aussi tombe amoureux d'elle. Bien qu'il ait très envie de la mordre dans le cou et de boire son sang, il se retient, car il est bien élevé. En effet, il fait partie d'une famille de vampire végétariens et ne boit que du sang d'animaux.

 

Bref vous voyez le dilemne? Comment un vampire peut-il sortir avec une humaine? A tout moment, le monstre en lui peut prendre le dessus et la dévorer. Il reste éternellement jeune et elle continue de vieillir... Et pour ne rien arranger, Bella semble faire le même effet sur les vampires, qu'un steak tartare sur moi ! Or tous ne sont pas aussi bien élevés que son amoureux...

 

Voilà en gros l'histoire de base sur laquelle Stephenie Meyer brode pendant quatre romans. Le résultat est plutôt pas mal. Bon en anglais c'est pas trop dur à lire, j'ai l'impression d'être bilingue tellement ça va vite et ça s'est déjà un bon point. Et puis, malgré tout elle réussit à créer une nouvelle image du vampire plutôt complète et intéressante. Je développe.

 

Depuis Anne Rice, les vampires ne craignent plus l'ail, ni les crucifix, ni les miroirs. Chez Meyer, ils ne craignent même plus le jour. Ils essaient juste d'éviter le soleil, car ses rayons font briller leur peau, comme si elle était incrustée de milliers de diamants. Plutôt cool, mais pas pratique quand on veut rester incognito. Certains vampire meyeriens développent aussi des pouvoirs magiques lors de leur métamorphose. Edward, l'amoureux transi peut lire dans les pensées des gens, Alice sa soeur adoptive voit l'avenir, d'autres peuvent retrouver quelqu'un où qu'ils soient dans le monde, ou encore balancer des décharges électriques... Finalement dans cette oeuvre, le vampire est plus proche que jamais de l'invincibilité...

 

Un reproche tout de même. La vie de vampire est beaucoup trop facile. Ceux qui ont lu DSC_0018Entretien avec un vampire se souviendront peut-être de la mélancolie de Louis, le héros. Il explique que les vampires ne sont plus capables d'aucun désir, ni pour la nourriture terrestre, ni pour les gens, hormis leur obsession pour le sang humain. Ici, on a l'impression que les vampires ne souffrent pas beaucoup plus de leur régime alimentaire que les végétariens humains que je connais, qui ont l'air très heureux. Du coup il n'y a pas vraiment de prix à payer pour l'immortalité et les pouvoirs cosmiques phénoménaux. C'est un peu dommage je trouve...

 

Du coup, j'ai choisi d'associer Twilight, enfin au moins le tome 1 Fascination en français, avec une recette addictive, fondante, presque trop sucrée, mais d'une simplicité enfantine. Les enfants adoreront la réaliser. J'en connais même un qui la faisait tous les mercredis après-midi pendant son année de CE2...

 

C'est un fondant chocolat-crème de marrons. Ah oui et c'est un gâteau noir, ça s'imposait pour une recette liée aux vampires. Clic pour la recette...

La photo sur le piano c'est parce que tout vampire qui se respecte joue des nocturnes de Chopin avec un air pénêtré et ça, Stephenie Meyer l'a bien compris.

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24 mars 2009

Fondant choco marron

500 g de crème de marrons vanillée
100 g de chocolat
100 g de beurre
3 oeufs

Préchauffez le four à 150°C.
Faites fondre le chocolat et le beurre. Ajoutez-les à la crème de marrons. Puis ajoutez les oeufs un à un en fouettant bien et vite.
Versez dans un moule à manqué beurré, enfournez et laissez cuire 20 à 30 minutes selon le fondant désiré.

Très facile, peut-être réalisé par des enfants.

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24 mars 2009

Elements de gastronomie Berlinoise...

Il y a des mots dont la sonorité est particulièrement évocatrice... Par exemple, quand on me dit que je vais manger des Wurst... Je ne suis pas vraiment étonnée qu'il s'agisse de saucisses...
A Berlin, en dessous de chaque station de métro, on trouve des Imbiss. Ce sont des petits fast-food où l'on peut manger sur le pouce, debout accoudé sur des tables hautes. On y sert toutes sortes de saucisses, mais la plus emblématique de Berlin c'est la Curry Wurst. Elle aurait été inventée par une tenancière d'Imbiss au lendemain de la seconde guerre mondiale. Cette saucisse servie avec une sauce à la tomate et au curry était très appréciée, paraît-il des JI's américains.

Berlin, c'est aussi la ville où est né le Doner Kebab, immigration turque oblige. Ceux que j'ai vus la-bas était servis sans frites, mais avec plus de légumes: le trio salade-tomate-oignons, mais aussi chou rouge et concombre...

Enfin j'ai quand même goûté un vrai plat dans un vrai resto. C'était un Eisbein. Un plat de jarret de porc (hmmm, encore de la charcuterie :)))). Il était servi avec de la choucroute et des pommes de terres bien sûr, mais aussi avec une purée de petits pois.

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